Exclusif : des centrales nucléaires pas comme les autres!

C’est une nouvelle surprenante qui aurait fuité de l’un des sous-traitant d’AREVA chargé de l’entretien des centrales nucléaires. Depuis la libéralisation de la gestion des centrales nucléaires par EDF, la maintenance a été externalisée au profit de prestataires qui sont obligées de prendre en compte des impératifs de rentabilité économique parfois au détriment de la qualité de la formation de leurs intervenants et de la sécurité. Selon certaines sources, les employés de ces sous-traitants seraient largement sous-qualifiés, des intérimaires “nomades” formés à la va-vite, qui seraient au nombre de 20 000, soit autant que les employés d’EDF selon un article du Monde

C’est un couple de ces travailleurs, originaire d’Europe de l’Est, nous les appellerons ici Misha et Marina, qui nous révèlent aujourd’hui un secret enfoui profondément sous le dôme de centrales nucléaires mais pas que!
Après avoir travaillé pendant trois ans pour un prestataire dont nous tairons le nom, Misha et Marina, ingénieurs de formation dans leur pays d’origine, se sont vus proposés une mission “spéciale”, fort bien rémunérée sous condition de secret absolu. Mais avant d’officialiser leur engagement, ils furent soumis à un mois de tests comportementaux, de résistance physique, mais aussi à une épreuve de séparation où leur attachement l’un à l’autre fût mis à rude épreuve.

“Au début, je n’ai pas compris, nous explique Misha, après avoir été isolé dans une résidence de rêve, j’ai été approchée par une série de femmes atrocement sexy, toutes pourvues de poitrines voluptueuse (et naturelles), ce qui reste mon point faible… et qui ont essayé par tous les moyens, et je dis bien tous… de me séduire et de me détourner de Marina. Ça a été horrible, mais chaque fois que j’ai été tenté, je n’ai eu qu’à plonger dans mon coeur et sentir que la seule femme que j’aimais plus que tout, c’était Marina, nous dit-il les yeux plongés dans ceux de sa jeune épouse, elle aussi au bord des larmes.

Marina fut soumise au même traitement qui aboutit au même résultat, non sans que les prétendants y aient perdu l’usage de certains de leurs attributs.

“Ah je pense qu’ils s’en souviendront, je doute qu’ils puissent se reproduire un jour, mais ça ne sera pas une grande perte pour l’humanité d’après ce que j’ai pu constater!” 

Au terme de cette série de tests dignes des pires shows de télé-réalité contemporains, et sans qu’ils comprennent réellement pourquoi, Marina et Misha se sont vus officiellement accrédités et transférés dans une équipe spéciale, avant d’être affectés sur le site du surgénérateur SuperPhenix à Creys-Malville, officiellement en phase de démantèlement depuis 2007. 

C’est là que commence un périple qui les mènera de surprise en surprise pour arriver à la découverte d’un secret qui relève tout autant de la  théorie du complot que des romans à l’eau de rose, voici pourquoi:

Après avoir été admis sur le site de l’ancien surgénérateur, qui aura couté officiellement plus de 40 milliards à la France, pour des résultats quasi-inexistants, nos jeunes amoureux furent pris en charge par une équipe de militaires ce qui n’a pas manqué de les surprendre.  

C’était assez effrayant au début, nous ne savions juste pas ce sur quoi nous étions censé travailler, nous savions juste que c’était top secret et on nous avait bien fait comprendre que les représailles en cas de révélations n’en resteraient pas au stade judiciaire… On nous a fait comprendre aussi que révéler quoi que ce soit ne servirait à rien, car “ils” contrôlaient les médias et s’assureraient que la nouvelle ne soit pas reprise, ou alors qu’elle serait tournée en dérision comme une théorie du complot de plus, comme il y en a tant sur internet. Mais après la phase de menace, a commencé un discours enflammé comme quoi l’humanité n’était pas prête à accepter et gérer la technologie à laquelle nous allions être exposés… C’est pourquoi, pour son propre bien, le secret absolu devait être préservé! 

Après cette introduction intimidante mais pour le moins excitante, l’équipe de nos amis s’est vu briefée toute une journée sur les conditions de sécurité du site, sur ce qu’ils pouvaient faire et ne pas faire. Ils ont alors découvert le secteur ou ils allaient habiter quand ils ne seraient pas au travail. 

Je n’en croyais pas mes yeux, au sein même du site se trouvait un dôme de verre comme on en trouve dans certains parcs de loisirs, ou régnait une jungle verdoyante avec des huttes et des bassins ou se baigner autant que l’on voulait. Chacun des douze couples que nous étions disposaient de sa propre hutte et pour la nourriture nous disposions d’une zone de restauration ou nous étaient servis des plats plus délicieux les uns que les autres mais uniquement végétariens. On allait pour les besoins professionnels nous initier au yoga et à d’autres pratiques que nous découvririons plus tard.

Le mystère s’épaississait d’heure en heure, et ils ne savaient toujours pas à quelle contrepartie ils devraient satisfaire en échange de ces conditions de vie de rêve. 

Après une première nuit passée dans leur cabane, les 24 participants furent menés dans le bâtiment où trônait plusieurs machines dont ils allaient devoir assurer la manutention. À la question pourquoi faire appel à des gens comme eux, on leur a expliqué qu’il comprendrait quand ils y seraient. 

Je me souviens de ma première impression à l’entrée dans la salle, tout d’abord un froid saisissant qui semblait transpercer nos combinaisons pourtant épaisses et puis un silence auquel nous n’étions absolument pas habitués dans l’environnement nucléaire “conventionnel”, une impression de calme absolu seulement troublé par l’agitation d’hommes et de femmes en blouse blanche absorbés par leur tâche et qui ne faisaient absolument pas attention à nous. 

Au centre de la salle trônaient les machines assez imposantes, au coeur desquelles ondoyait un magnifique tourbillon de liquide bleuté contenu dans un récipient de 3m de haut aux parois de verre. Tout autour se trouvaient, à intervalles réguliers, des colonnes massives qui étaient censées collecter l’énergie émise par les dispositifs.

D’après ce que j’ai compris, ce Vortex, comme ils l’appelaient, rayonnait une énergie qui était directement convertie en électricité, quasiment sans pertes et d’après ce qui nous a été affirmé, cette seule machine suffisait à l’alimentation de plusieurs villes environnantes, mais nous ne savions toujours pas qu’elle était l’énergie qui l’animait.

La première surprise passée et après une présentation aux personnes présentes, qui les regardaient avec des sourires goguenards sans qu’ils sachent pourquoi, ils furent invités à descendre un escalier menant dans une salle située sous un tourbillon géant. Une fois la porte ouverte, changement total d’univers, ils se trouvaient dans une espèce de chambre avec des lumières tamisées sur le pourtour qui contre-balançait l’éclairage bleuté rayonnant du plafond de verre. 

Au milieu se trouvait un lit XXL au dessus duquel nous pouvions admirer le Vortex bleuté qui ondulait nonchalamment dans le silence le plus total! C’était absolument incroyable.. 

C’est alors qu’une femme magnifique avec un léger accent russe, leur expliqua enfin leur rôle. Ils devaient tout simplement laisser libre cours à leur amour dans cette salle, autant qu’ils le voulaient, le vortex captant l’énergie de leur amour et la convertissant de manière exponentielle en électricité.

Nous étions sous le choc, j’avais déjà entendu parler des “énergies libres” sur internet nous dit Misha, mais jamais d’une énergie basée sur l’amour! J’ai bien des amis hippies mais je ne les ai jamais vraiment pris au sérieux. Et là on nous présentait un générateur à Énergie Libre avec l’Amour pour carburant! J’imagine la tête qu’ils feraient s’ils s’étaient trouvés avec nous à ce moment là. Lorsque je demandais pourquoi aucun d’entre nous justement ne semblait avoir de cheveux longs et de vêtements flottants et bigarrés, on nous expliqua que plusieurs tentatives avaient été tentées avec des hippies mais que la pratique de l’amour libre conjugué à l’usage de drogues douces avaient rendu les expérimentations particulièrement instables allant même jusqu’à provoquer le départ de membres de l’équipe scientifique qui disaient “ne plus en avoir rien à foutre…” et qui s’en allèrent rejoindre les communautés environnantes pour faire des fromages. C’était donc trop risqué!

Les mois qui suivirent furent idylliques, ponctués par quelques départs, rapidement remplacés par de nouveaux amoureux. 

C’était la vie de rêve, payés pour faire l’amour, tout en sachant que sur nous reposait l’alimentation électrique des communes environnantes sans la génération du moindre déchet radio-actif, on était au max! S’emporte Misha.

C’est après la catastrophe de Fukushima que plusieurs personnes dont Misha et Marina décidèrent qu’ils ne pouvaient se taire plus longtemps et qu’il était de leur devoir de révéler au monde la technologie révolutionnaire que représentait le Vortex pour enfin libérer l’humanité de la menace de la fission nucléaire. C’est alors qu’ils furent dénoncés par un informateur au sein de leur  équipe et que s’engaga une course poursuite digne des meilleurs films hollywoodiens. Fuite dont seuls Misha et Marina sortiront vivants pour enfin venir nous livrer leur secret, aujourd’hui à l’Oeil du Cyclone.

Ce qui nous a décidé au final, c’est effectivement les conséquences de la catastrophe de Fukushima dont on mesure à peine l’importance. Mais aussi le fait que cette technologie du Vortex ait été maintenue secrète à des fins de contrôle de population. On nous a affirmé qu’en cas de diffusion de cette technologie, le chaos s’ensuivrait irrémédiablement, la population n’étant pas mûre pour se libérer de la contrainte énergétique. Mais je crois que c’est un leurre, il s’agit uniquement pour ceux qui sont au pouvoir actuellement de maintenir leur tutelle sur le monde. Et quand on voit ce qu’ils en font, on a peine à imaginer comment cela pourrait être pire, nous dit Marina que l’on sent encore guidée par les idéaux qui prévalaient de l’autre coté du mur avant 1989. Mais elle s’en défend :

Ce n’est pas du communisme, c‘est de l’humanisme et de l’écologisme, même pas, c’est juste une prise de conscience que l’on ne peut continuer à piller les ressources du monde alors qu’il existe une source d’énergie propre à satisfaire nos besoins sans effets secondaires pour le reste de l’environnement. Il est clair que l’humanité doit s’élever à un niveau de conscience plus global, et je crois qu’elle y sera forcée lors de la révélation de cette nouvelle source d’énergie. 

Et Misha, d’ajouter “ C’est clair que ça va être le bordel, mais c’est déjà plus ou moins le cas et grâce à internet, nous avons une opportunité de réfléchir ensemble sans parasitage d’experts, de politiciens et de médias corrompus à l’utilisation du Vortex. Bien évidemment comme toute technologie de rupture, il va y avoir de la casse au départ, mais c’est comme ça que nous apprendrons collectivement et que nous pourrons faire le saut dans ce qui pourrait être une humanité 3.0 après la découverte du feu, puis de l’électricité nous allons enfin apprendre à valoriser l’Amour!

Une belle conclusion pour une belle histoire qui pourrait bien changer nos habitudes à jamais, grâce à l’avènement du « Love Power ».

Peace Man!

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À propos de l'auteur: JP Mariel

Hipster mondialiste et localiste, JP Mariel se passionne pour les actualités d'un monde qui part en vrille systémique, où tout devient possible ce qui découle fort logiquement sur du "Grand Grand N'importe Quoi "(GGNQ). JPM s'en désole et s'en amuse, et partage avec vous sa vision d'une information parallèle en mode quantique, à la fois vraie et fausse, tout dépend du point de vue de l'observateur. À vous de décider!

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